Cabinet de psychothérapie Hanane Herpin
Psychothérapie à Aix en Provence et Roquevaire
 

Cabinet de psychothérapie Hanane Herpin, psychothérapie à Aix en Provence et Roquevaire

Cabinet de psychothérapie Hanane Herpin
Psychothérapie à Aix en Provence et Roquevaire

Séances de psychothérapie à distance, en cabinet Trets à Roquevaire

Psychothérapie à Roquevaire (13360)

Psychothérapie

Avant de se prétendre pratiquer la psychothérapie : c’est une personne qui propose d’aider autrui à se retrouver, à changer sa perception des choses, de la vie, à aider à remplacer les idées négatives par des positives, l’emmener vers une paix intérieure, le pardon…

Psychothérapie

J’ai fait moi-même une psychanalyse et une thérapie pour me débarrasser de mes crises d’angoisses, de spasmophilie. Le jour où j’ai trouvé cette lumière qui m’avait éclairé à propos de mes crises de spasmophilie, j’ai eu une révélation : je veux aider la galaxie à sortir de l’angoisse car oui, j’ai obtenu la source de la réponse et la méthode pour s’en sortir.

 

Dans le dictionnaire de la psychologie (PUF - 1995), le psychanalyste Didier ANZIEU à proposé une définition assez simple de la psychothérapie :

« Méthode de traitement des souffrances psychiques par des moyens essentiellement psychologiques. Selon la démarche utilisée, la psychothérapie cherche soit à faire disparaître, une inhibition ou un symptôme gênant pour le patient, soit à remanier l’ensemble de son équilibre psychique. »

Déroulement d'une séance

On se pose toujours la question : comment ça se passe une psychothérapie ?  En général, le but de la thérapie est souvent précisé dans la tête de la personne : se soulager d’une souffrance. Lorsqu’un patient franchi la porte de mon cabinet pour la première fois, je lui pose systématiquement la question suivante :  qu’est-ce qui vous a poussé à venir me voir ? Très souvent la première raison donnée est juste la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Certaines personnes n’expriment pas la raison de leur demande, versent des larmes, de souffrance, de ras-le-bol… Je laisse aussi le patient développer son histoire, parler un peu, dans le désordre, aucune structure n’est demandée, aucun ordre n’est réclamé. Ensuite, vient place à l’échange, c’est aussi le moment des questions pour avoir plus de détails, plus de ressenti. Parfois, on se rend compte que la raison de la démarche est complètement différente de la raison de la souffrance, et que sans le savoir le patient fait un transfert de douleur sur autre chose. Mais peu importe l’origine de la souffrance. Le premier pas est toujours important pour commencer une thérapie.  

La première séance est souvent prudente, fragile, timide. Le patient vient se libérer d’un poids, d’un secret, d’une souffrance, mais reste tout de même sur sa réserve, se retient, ne dit pas tout. Ce pas reste très courageux, l’individu prend le temps de se faire confiance, puis essaye de faire confiance à la thérapeute qui le reçoit, essaye de lâcher prise. Juste avec ces deux actes, (la confiance et le lâcher prise), un sentiment d’apaisement s’installe, et c’est une acquisition de solution. Décider de ne plus contrôler ce que l’on dit, de laisser plus de place à la sincérité, ouvre un accès important à son intérieur, et produit plus de lapsus. Cette variété d’actes manqués laisse enfin parler l’enfoui, l’inconscient.
Nous parlerons aussi des rêves, même si parfois ils peuvent paraitre étranges et incompréhensibles, et sont peut-être une clé de l’inconscient, d’un désir caché.  Et c’est là où l’analyse approfondie peut commencer, avec bienveillance, et au rythme du patient.
 L’aboutissement de cette analyse vient une fois que l’on a mis un sens à certaines choses, décortiqué certaines « énigmes ».  

On peut alors démarrer la partie où on résout les choses, en remplaçant des pensées négatives par des positives, voir même en essayant de changer la perception des choses, si celle que l’on a nous apporte plus de mal et de douleur. On s’attache à remplacer les pensées néfastes par des productives afin que le patient puisse progresser sur le plan émotionnel et provoquer des changements durablement positifs.
 Personnellement, je suis une adepte du TCC (Thérapie cognitivo comportementale) que je constate efficace, non seulement dans le cadre de troubles de manque d’attention, mais aussi pour la dépression, la phobie sociale, le trouble panique… « Ce sont nos pensées au sujet d’une situation qui affectent nos émotions, et non pas la réalité de la situation », Module 1 cours TCC « Spirivie ».

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